Considéré comme l’une des meilleures méthodes de traitement contre la pilosité, l’épilateur à lumière pulsée connaît un véritable succès. Cette technique présente l’avantage d’être rapide et offre des résultats quasi-permanents. Cependant, que faut-il réellement savoir de cette technique de rasage ? Découvrez.
Aperçu sur l’épilation à lumière pulsée
Comme la plupart des techniques d’épilation, la lumière pulsée permet de se débarrasser de sa pilosité. Pour ce faire, l’appareil émet une lumière thermique qui détruit progressivement le bulbe du poil. En outre, il faut signaler que cette méthode n’est absolument pas douloureuse.
Toutefois, comme indiqué dans ce guide complet , vous pouvez notamment éviter les brûlures en réduisant l’intensité du rayonnement émis. Si cette méthode est si appréciée, c’est essentiellement à cause du résultat permanent qu’elle offre. A la fin du traitement, vous n’aurez donc plus besoin de perdre du temps à vous raser.
Les recommandations d’usage
Avant chaque séance d’épilation à lumière pulsée, certaines dispositions doivent être prises pour en garantir l’efficacité. Déjà, vous devez raser les zones à épiler deux jours avant la séance. La destruction du bulbe est beaucoup plus efficace lorsque les poils sont courts. Si le traitement concerne également le haut du corps ou le visage, le port de lunettes de protection est recommandé. Cela évite tout risque d’altération de vos yeux.
Sachez également que ce type de traitement se fait suivant un calendrier précis. Au début de la thérapie, vous devrez vous faire flasher 2 fois par mois durant environ 1 trimestre. Cette fréquence est réduite à 1 séance mensuelle pendant 4 mois en fonction de la repousse. Durant les 15 jours qui suivent la dernière session, vous devrez éviter les bains de soleil. Autrement, vous risquez d’avoir d’importantes brûlures sur les zones préalablement traitées.
Quelques contre-indications
La carnation est à prendre en compte lors d’une épilation à lumière pulsée. En effet, les personnes à peau foncée doivent être prudentes avec l’IPL, car le risque de brûlure est plus important. Cette situation est due au fait que les poils ne se distinguent pas suffisamment de la teinte de l’épiderme.
Par conséquent, la lumière cible également la peau, augmentant ainsi le risque de blessure. Toutefois, certains dispositifs sont spécialement conçus pour ce type de carnation. Par ailleurs, la méthode de flashage n’est pas conseillée lorsque le patient présente des problèmes dermatologiques comme les eczémas. Si vous avez fait des tatouages ou suivez une chimiothérapie, vous devez également vous abstenir de vous faire flasher. Cela vaut également pour les femmes enceintes ou celles qui allaitent.